Première reconnaissance devant la justice de la véracité des faits

je suis devenu « lanceur d’alerte » malgré moi lorsque j’ai été témoin de la mise en danger des consommateurs chez un industriel de la viande fournissant la plupart des grandes marques et enseignes de distribution.
Vous pouvez lire cette semaine dans les colonnes du Canard Enchaîné que l’industriel Castel Viandes, qui avait porté plainte pour diffamation suite aux révélations de mon livre « Omerta sur la viande » paru aux Éditions Grasset a retiré sa plainte la veille du procès. Après réflexion, ils ont dû penser qu’étriller un lanceur d’alerte en plein scandale Lactalis, ce n’était pas très bon pour la com’!

Cela signifie que même eux reconnaissent devant la justice l’exactitude des faits décrits, ce qui est lourd de conséquences.
Les consommateurs seront heureux d’apprendre que 4 ans après la mise en examen de l’entreprise pour « tromperie aggravée par un risque pour la santé de l’homme », il n’y a toujours pas de date de procès. Comme l’écrit le Canard, « heureusement qu’il n’y a pas de date de péremption! »

Plusieurs médias ont relayé l’information, dont France Bleue Loire Océan qui a également interviewé l’association Anticor, avec qui je travaille pour plus de transparence et de vérité dans l’intérêt commun. L’article complet est à retrouver ici.